Biographie
Marie-Marguerite-Délia Dugas
Sœur Anne-Félicité
Sœur Miracle
(1890-1964)
Religieuse
Née à Saint-Damien-de-Brandon, Québec, le 11 août 1890, Marie-Marguerite-Délia Dugas est la fille de Joseph-Alfred Dugas, cultivateur, et de Félicité Rival dit Bellerose.
Elle étudie à l’école de sa paroisse, puis au pensionnat de Sainte-Élisabeth, au Québec. Elle entre au noviciat des Sœurs de la Providence de Joliette en 1908. Elle est religieuse professe en 1909 et prononce ses vœux perpétuels en 1914.
Sœur Anne-Félicité
Sœur Miracle
(1890-1964)
Religieuse
Née à Saint-Damien-de-Brandon, Québec, le 11 août 1890, Marie-Marguerite-Délia Dugas est la fille de Joseph-Alfred Dugas, cultivateur, et de Félicité Rival dit Bellerose.
Elle étudie à l’école de sa paroisse, puis au pensionnat de Sainte-Élisabeth, au Québec. Elle entre au noviciat des Sœurs de la Providence de Joliette en 1908. Elle est religieuse professe en 1909 et prononce ses vœux perpétuels en 1914.
Sœur Anne-Félicité obtient une guérison dite miraculeuse vers l’âge de 10 ans, elle dédie ensuite sa vie à la Sainte Vierge. Elle est hospitalière des vieillards, quêteuse, visitatrice, compagne-infirmière et enseignante pour les petites malades de l’Hôpital du Sacré-Cœur, à Cartierville. Elle œuvre pendant près de 10 ans à la mission de L’Assomption et quelques années à l’Asile de la Providence à Montréal.
Entre 1949 et 1951, elle réside au couvent de sa congrégation à Sainte-Marguerite-du-lac-Masson où elle visite les pauvres et les malades. Sœur Anne-Félicité devient à ce moment la confidente et la consolatrice d’un grand nombre de personnes. Selon plusieurs, elle fait aussi de véritables miracles auprès des malades et des handicapés. À cette époque, une famille Dorion de l’endroit offre une terre à Sœur Anne-Félicité pour la remercier de faveurs obtenues. L’objectif est d’y ériger un sanctuaire à Notre-Dame des Sept Douleurs. La congrégation des Sœurs de la Providence refuse la propriété du terrain à Sœur Anne-Félicité. Cependant, grâce à des dons, en particulier l’implication de René Champoux, et à la collaboration des donateurs, le sanctuaire voit quand même le jour. Une grotte de Lourdes, des stations et un calvaire sont construits. Sœur Anne-Félicité trouve miraculeusement de l’eau sur le terrain alors qu’il semble ne pas y en avoir. Vers 1950, sa réputation de thaumaturge dépasse les frontières du Qué_bec et des milliers de pèlerins se rendent à Sainte-Marguerite-du-lac-Masson dans l’objectif de voir s’opérer des miracles. Ces activités inquiètent cependant la congrégation des Sœurs de la Providence et Sœur Anne-Félicité est rappelée à la maison mère en 1951.
Elle est décédée à la maison mère des Sœurs de la Providence et est inhumé au cimetière de la communauté à Saint-Jean-de-Dieu, à Montréal. Ce cimetière est maintenant disparu, mais les restes de Sœur Anne-Félicité ont été transférés au repos Saint-François d’Assise.
Elle est décédée à Montréal, le 7 février 1964. Elle est inhumée au repos Saint-François d’Assise.
Pour davantage d'informations sur sa généalogie - cliquez ici.
Entre 1949 et 1951, elle réside au couvent de sa congrégation à Sainte-Marguerite-du-lac-Masson où elle visite les pauvres et les malades. Sœur Anne-Félicité devient à ce moment la confidente et la consolatrice d’un grand nombre de personnes. Selon plusieurs, elle fait aussi de véritables miracles auprès des malades et des handicapés. À cette époque, une famille Dorion de l’endroit offre une terre à Sœur Anne-Félicité pour la remercier de faveurs obtenues. L’objectif est d’y ériger un sanctuaire à Notre-Dame des Sept Douleurs. La congrégation des Sœurs de la Providence refuse la propriété du terrain à Sœur Anne-Félicité. Cependant, grâce à des dons, en particulier l’implication de René Champoux, et à la collaboration des donateurs, le sanctuaire voit quand même le jour. Une grotte de Lourdes, des stations et un calvaire sont construits. Sœur Anne-Félicité trouve miraculeusement de l’eau sur le terrain alors qu’il semble ne pas y en avoir. Vers 1950, sa réputation de thaumaturge dépasse les frontières du Qué_bec et des milliers de pèlerins se rendent à Sainte-Marguerite-du-lac-Masson dans l’objectif de voir s’opérer des miracles. Ces activités inquiètent cependant la congrégation des Sœurs de la Providence et Sœur Anne-Félicité est rappelée à la maison mère en 1951.
Elle est décédée à la maison mère des Sœurs de la Providence et est inhumé au cimetière de la communauté à Saint-Jean-de-Dieu, à Montréal. Ce cimetière est maintenant disparu, mais les restes de Sœur Anne-Félicité ont été transférés au repos Saint-François d’Assise.
Elle est décédée à Montréal, le 7 février 1964. Elle est inhumée au repos Saint-François d’Assise.
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